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Maison jetable (facilement démontable en réalité) du début du XXe siècle, elle et ses consœurs voisines sont pourtant devenu de véritable témoin de l'installation de maison dans les glacis. Pour autant, elles sont toutes très mal entretenus. La ville semble toujours hésitée sur leur avenir et ne font pas les travaux nécessaire pour un renouveau pour un siècle supplémentaire. Et puis si vient l'envie de les détruire, et bien vu le laisser aller, ce sera facile à justifier. Gagnant dans tous les cas. Heureusement certains habitants pour de la résistance (voir premier article)
Sources : Journal local sur la résistance (FR) && Archi-wiki (FR)
Haut-lieu de villégiature, la Ville d'Hiver d'Arcachon évoque les riches heures mondaines du passé à travers une série d'architectures qui s'inspirent des styles néoclassique, néo-gothique, du chalet suisse, de la maison coloniale ou de l'architecture mauresque.
Les différentes villas intègrent typiquement des éléments architecturaux tels que toiture à grand débord selon la tradition du chalet, façade en brique, oriel, belvédère, tourelle, avant-corps, véranda, balcon, en une asymétrie marquant la mode pittoresque apparue au xviiie siècle et qui s'est développée au xixe siècle.
La villa arcachonnaise, souvent plongée dans la verdure, emprunte ainsi son style hybride à de multiples époques, de multiples régions de la planète. L'utilisation intensive de bois découpés pour les fermes, les lambrequins et les balcons est favorisée par la mécanisation des fabriques de la région ; certains sont si finement découpés qu'on les compare à des architectures de papier.
Les noms des maisons (La Joconde, Figaro, Fantaisie, Le Moulin, Nitouche, ou Madeleine, qui a accueilli Gustave Eiffel) marquent leur époque.
Thème du mois de Juin 2022: Les horloges
Célèbre depuis deux cent cinquante années par ses productions faïencières (C’est en 1764 que Jean-François Sta, notaire obtenait l’autorisation royale de « se mettre en faïence »), la cité des Potiers abrite de véritables trésors en provenance des familles aussi réputées que les Géo Martel, Boulogne, Level, Masse Frères, Fourmaintraux pour les plus anciennes et plus proche de nous, Delarue et Régnier…
Les Fourmaintraux, toutes branches confondues, ont laissé d’importantes traces dans le domaine créatif. C’est justement de la manufacture de la route de Menneville, fondée vers 1880 par les frères Jules et Émile Fourmaintraux, qu’est née la monumentale horloge.
Cette pièce qui, balancier compris, approche les deux mètres de hauteur a trouvé une place de choix dans le musée de la céramique. Réalisée dans le style horloger cartel Louis XV, cette somptueuse pendule est finement décorée en style Rouen Lambrequin polychrome avec un cartouche présentant deux scènes : l’une sur le corps de l’objet et le second sur le balancier
Sous la varangue d’une case créole , où le soleil et les lambrequins dessinent d’élégantes dentelles d’ombre et où porte le parfum des jasmins et des roses du jardin , se résume toute la douceur de vivre « lontan » .
Héritières des paillotes construites par les premiers colons , installés là par la Compagnie des Indes orientales dans la deuxième moitié du XVIIe siècle , ces maisons traditionnelles de l’île de la Réunion ont évolué sous diverses formes , plus ou moins fastueuses , jusqu’à constituer aujourd’hui un véritable melting-pot de styles architecturaux et ornementaux .
Une diversité qui se déploie le plus souvent autour de quelques canons immuables , vestiges de l’influence française ( un plan rectangulaire , une distribution intérieure symétrique , une haute toiture à quatre pans ) , mais également pondichérienne avec l’emblématique varangue .
www.detoursenfrance.fr/patrimoine/traditions-et-savoir-fa...
Haut-lieu de villégiature, la Ville d'Hiver d'Arcachon évoque les riches heures mondaines du passé à travers une série d'architectures qui s'inspirent des styles néoclassique, néo-gothique, du chalet suisse, de la maison coloniale ou de l'architecture mauresque.
Les différentes villas intègrent typiquement des éléments architecturaux tels que toiture à grand débord selon la tradition du chalet, façade en brique, oriel, belvédère, tourelle, avant-corps, véranda, balcon, en une asymétrie marquant la mode pittoresque apparue au xviiie siècle et qui s'est développée au xixe siècle.
La villa arcachonnaise, souvent plongée dans la verdure, emprunte ainsi son style hybride à de multiples époques, de multiples régions de la planète. L'utilisation intensive de bois découpés pour les fermes, les lambrequins et les balcons est favorisée par la mécanisation des fabriques de la région ; certains sont si finement découpés qu'on les compare à des architectures de papier.
Les noms des maisons (La Joconde, Figaro, Fantaisie, Le Moulin, Nitouche, ou Madeleine, qui a accueilli Gustave Eiffel) marquent leur époque.
Une maison qui détonne, comme sa voisine puise ses inspirations dans le style haussmannien (ou seul survivant actuel : le style réunionnais). Quoi qu'il en soit, c'est finement sculpté et on peut y voir quelques éléments intéressants comme les dragons en équerres ou les volutes complexes du pignon. Très beau travail ! Elle servait d'annexe à la maison du "Schloofer" pour notamment recevoir et accueillir les malades au préalable.
Sources : Wikipédia sur Dorlisheim (Multi) && Merimee (FR)
Depuis le Selhof réaménagé en parc depuis quelques temps, vu sur ce joyaux néo-gothique du milieu du XIXe siècle. Il remplaça l'ancienne église gothique qui était environ à la même place mais orienté dans l'autre sens. L'édifice du XIVe commençait à être petit pour la communauté catholique d'Obernai.
Sources : Site de la ville sur le Selhof (FR) && Site de la ville sur l'église (FR) && Article de blog sur l'église(FR) && Petit-patrimoine sur l'église (FR)
Plombières-les-Bains / Val d'Ajol (en fait à la limite de la ville)
P1080138
fr.wikipedia.org/wiki/Lambrequin_(architecture)
a la Belle Epoque, la ville s'étant vers l'aval et le versant droit de la vallée, au-dessus des nouveaux thermes, principalement. Une gare est construite (un "train des Eaux" est en service à la belle saison depuis Paris, avec des voitures desservant directement chaque ville, relayé depuis la gare par un omnibus hippomobile)
ESCUDO DEL REINO UNIDO
Escudo de armas del monarca británico también es usado como blasón nacional en el Reino Unido. En él aparecen reunidos los escudos de las naciones constitutivas de este: Inglaterra, Escocia e Irlanda del Norte.
Escudo cuartelado.
En el primero y el cuarto, escudo de Inglaterra: De gules, tres leones leopardados de oro, armados y linguados de azur.
En el segundo, escudo de Escocia: De oro, un león rampante de gules, linguado, y armado de azur, encerrado en un trechor de gules.
En el tercero,escudo de Irlanda : De azur, un arpa de oro cordada de plata.
El todo rodeado por la Jarretera.
Por soportes terrazados de sinople, en la diestra, un león rampante y guardante, de oro, coronado de la Corona de San Eduardo, en la siniestra un unicornio rampante de plata, linguado de gules y armado y crinado de oro, colletado y encadenado de lo mismo.
Al timbre celada de oro forrada de gules, puesta de frente, adornada de lambrequines de oro y de armiños y sumada de la Corona de San Eduardo, la corona sumada de un león leopardado de oro, armado y linguado de gules, coronado de la Corona de San Eduardo, que es la cimera de Inglaterra.
Al pie, por divisa Dieu et mon Droit, (Dios y mi Derecho) de oro, en una cinta de plata, sumada de un trébol de sinople, una rosa de gules y plata, hojada de sinople, y una flor de cardo de azur y de sinople, hojada de lo mismo.
Allons maintenant de l'autre coté du complexe castral à l'orée du jardin royal et des douves aux cerfs.
Le jardin fut aménagé durant le XVIe siècle dans un style renaissance et est agrémenté de quelques bâtiments après que l'empereur Ferdinand I de Habsbourg rachetât les vignes sises après le petit cours d'eau du Brusnice. Ce dernier passe au milieu du fossé susmentionné qui a la particularité d'avoir un tunnel accessible à tous construit au début des années 2000 permettant de le traverser sur presque toute la longueur.
Sources : Site du château à propos du jardin (CZ) && Wikipédia à propos des douves (Multi) && Site du château à propos des douves (CZ)
This is the largest body of water in the caverns. However, its deepest point is not more than 18 to 20 inches. This sparkling lake reflects a myriad of fantastic forms and creates a mirror image of the abundant stalactites hanging from the ceiling.
Luray Caverns is the largest and most popular caverns in Eastern America. Tours along well-lighted, paved walkways that lead visitors through cathedral-sized rooms with ceilings 10-stories high, towering stone formations, and natural wonders.
Delicately Folded Stone Formations
There’s nothing more beautiful than these scarves, shawls, lambrequins of translucent calcite, some white as snow, falling in graceful folds, fringed with a thousand patterns, and so thin that a candle held behind one of them reveals all the structure within. (The Smithsonian Institution)
Bel ensemble de patrimoine d'Obernai.
Au premier plan la Chapelle du cimetière incluant une représentation du mont des oliviers.
Ensuite viens l'église Saints-Pierre-et-Paul, joyaux du néogothique du XIXe siècle et son cimetière multiséculaire.
Puis sur la droite, le pavillon Saint Vincent de Paul, tribunal méconnu de la ville transformé en EHPAD puis laisser en attente de reconversion.
Et enfin un peu plus loin, la chapelle de la Vierge et son beffroi bicolore.
Et bien plus loin, une tour de garde de la muraille médiévale. Saurez-vous la retrouver ?
Sources : Site de la ville sur l'église (FR) && Article de blog sur l'église(FR) && Petit-patrimoine sur l'église (FR) && Site de la ville sur le mont des Oliviers (FR) && Mérimée sur le cimetière (FR) && Wikipédia sur le cimetière (FR) && Merimee sur la chapelle-beffroi (FR) && Wikipédia sur le beffroi (Multi) && Blog détaillant le haut de beffroi (FR) && Site de la ville sur cette ancienne église-chapelle devenu beffroi puis salle d'expo (FR)
The Great Stalacpipe Organ is in the lower center of image.
Luray Caverns is the largest and most popular caverns in Eastern America. Tours along well-lighted, paved walkways that lead visitors through cathedral-sized rooms with ceilings 10-stories high, towering stone formations, and natural wonders.
Delicately Folded Stone Formations
There’s nothing more beautiful than these scarves, shawls, lambrequins of translucent calcite, some white as snow, falling in graceful folds, fringed with a thousand patterns, and so thin that a candle held behind one of them reveals all the structure within. (The Smithsonian Institution)
El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente está ocupado por una sede de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo XV por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza. Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del Premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España. Actualmente forma parte de la sede «Antonio Machado» de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la fachada se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo XX ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
es.wikipedia.org/wiki/Palacio_de_Jabalquinto
Baeza es un municipio de España, la ciudad capital de dicho municipio y cabeza del partido judicial homónimo. Se encuentra en el mismo centro geográfico de la provincia de Jaén (en el noreste de la Comunidad Autónoma de Andalucía) enclavada en la comarca de La Loma de la que se considera su capital occidental.
En la actualidad es conocida por su ingente producción olivarera, su abundante legado monumental, y por ser sede universitaria desde el siglo XVI, albergando hoy día una de las sedes de la Universidad Internacional de Andalucía.
Denominada "Nido Real de Gavilanes" por el romancero, fue un punto clave en la conquista de al-Ándalus por los reyes cristianos; pasando definitivamente al reino de Castilla en 1227. Atalaya sobre el Guadalquivir, la posesión de su alcázar (considerado como inexpugnable) aseguró la retaguardia castellana, la vez que supuso una amenaza constante para los reinos islámicos situados al oeste y al sur del Guadalquivir; una amenaza que se hizo efectiva durante los más de dos siglos de lucha fronteriza que separaron la incorporación de Baeza al reino de Castilla y la caída del reino nazarí de Granada (1492).
Durante el período de gran crecimiento demográfico y económico que supuso la mayor parte del siglo XVI, y aún en parte del XVII, Baeza construyó sus edificios públicos y administrativos con alto sentido de capitalidad y con la más alta dignidad, conformando así, junto con las construcciones eclesiásticas, un tejido urbano caracterizado por una monumentalidad que ha dado a la ciudad un encanto especial a los ojos del visitante.
En 1943 se fundó en Baeza la academia de las escalas de Cabos y Guardias y de Suboficiales de la Guardia Civil.
Se encuentra a unos 48 km al noreste de la capital provincial, y limita por el este con el municipio de Úbeda, con el que comparte la capitalidad de la histórica Comarca de La Loma.
El 3 de julio de 2003, y tras varios años de intentos, la UNESCO declara finalmente a Baeza (junto a Úbeda) Patrimonio de la Humanidad. Este acontecimiento profundiza el relanzamiento de la ciudad al incrementar considerablemente el interés del sector turístico.
es.wikipedia.org/wiki/Baeza_(España)
Tout d'abord, regardons de plus près cette entrée secondaire à droite de la tour, on la nomme la Porte dorée. Elle tient son nom de la mosaïque du Jugement dernier et ses verres dorés tout du long. Elle fut réalisée au XIVe siècle au dessus, à l'époque, de l'entrée principale. Elle a également la particularité de renfermer les joyaux de la couronne tchèque.
En plus de ses deux flèches de sa façade néo-gothique, la cathédrale se pare d'une tour des plus originale. En effet, elle a une base gothique construite à la toute fin du XIVe siècle. Ensuite, les guerres hussites freinent le projet, finalement après ces dernières, un chemin de ronde renaissance fut construit à la moitié du XVIe siècle coiffé par une coupole et accompagné d'une horloge. Ensuite, des bulbes de style baroque furent installés en 1770 par Nicola Pacassi. Et enfin, au court de la fin du XIXe, le néogothique s'abattat également sur la tour par Josef Mocker et Kamil Hilbert. Elle représente bien le style très éclectique de la cathédrale qui fut en chantier durant près de 1000 ans.
Info cathédrale: Wikipédia (Multi) && Site du château sur la cathédrale en son sein (Multi) && Office du tourisme (CZ/EN)
Sources porte dorée : Wikipédia (Multi) && École tchèque des mosaïques (CZ) && Eglise évangélique (CZ)
Sources tour : Wikipédia (Multi) && Site participatif sur le tourisme (CZ)
Raadhuis.
Het blokvormig gebouw met gevel aan de Noorderhaven, is in 1730 door stadsbouwmeester H.J. Norel opgetrokken tegen een ouder gedeelte doorlopend tot aan de Voorstraat, dat aan de Voorstraat door een achthoekige toren gemarkeerd was. De vleugel tussen het gebouw van 1730 en de toren is in 1756 vervangen. Het blokvormig gebouw is gedekt door vier zadeldaken met zes schoorstenen op de hoeken; aan de gootlijst gesneden consoles; dakkapellen met siersnijwerk.
Boven de met snijwerk aan consoles en vensteromlijstingen versierde middenpartij een door Gerbrandus van der Haven gebeeldhouwde H. Michael met het stadswapen. Onder de vensters lambrequins.
Voor de gevel twee bijbehorende schamppalen. Hal met gestuct plafond; in de hal buste van S. Stijl door L. Royer. In een vertrek naast de hal gestucte schouw met embleem van het recht en stadswapen.
Badkamer wit betegeld met gekleurde randen. In de burgemeesterskamer geschilderd schoorsteenstuk: Aeneas en Anchises. Op de verdieping raad- en trouwzaal met koepelvormig verhoogd stucplafond en 2 gesneden schouwboezems met marmeren schoorsteenmantel.
In een achterkamer ingelijste gedeelten van beschilderd behang door N. Baur, 1796 en door E. van Drielst. Op de schouw een "witje".
Toren. De achthoekige toren op natuurstenen basement is bekroond door een open spits en bevat een mooi gemetselde spiltrap.
Boven de ingang een gevelsteen met St. Michael, afkomstig van de v.m. Westerkerk.
bron; rijksmonumenten.nl/monument/20598/raadhuis/harlingen/
Flal, 2 Steden-wandeltocht, Franeker 29 februari 2020.
The Great Stalacpipe Organ is the world’s largest musical instrument. It literally makes stalactites sing by gently tapping them throughout three acres of the caverns. It’s a musical masterpiece that can’t be found anywhere else in the world … or under it.
Luray Caverns is the largest and most popular caverns in Eastern America. Tours along well-lighted, paved walkways that lead visitors through cathedral-sized rooms with ceilings 10-stories high, towering stone formations, and natural wonders.
Delicately Folded Stone Formations
There’s nothing more beautiful than these scarves, shawls, lambrequins of translucent calcite, some white as snow, falling in graceful folds, fringed with a thousand patterns, and so thin that a candle held behind one of them reveals all the structure within. (The Smithsonian Institution)
Luray Caverns is the largest and most popular caverns in Eastern America. Tours along well-lighted, paved walkways that lead visitors through cathedral-sized rooms with ceilings 10-stories high, towering stone formations, and natural wonders.
Delicately Folded Stone Formations
There’s nothing more beautiful than these scarves, shawls, lambrequins of translucent calcite, some white as snow, falling in graceful folds, fringed with a thousand patterns, and so thin that a candle held behind one of them reveals all the structure within. (The Smithsonian Institution)
Casa Zenita Narlock
Casa em Alto Paraguaçu, com os lambrequins que caracterizam a influência polonesa.
On August 10th, 2024, celebrating the 50th anniversary of their National Natural Landmark status, we were able to step back in time and experience the enchantment of Luray Caverns, just as it was when first discovered in August 1878. We witness the special illumination, where interpreters in period costumes shared it fascinating history with us through candlelit cavern sections.
Luray Caverns is the largest and most popular caverns in Eastern America. Tours along well-lighted, paved walkways that lead visitors through cathedral-sized rooms with ceilings 10-stories high, towering stone formations, and natural wonders.
Delicately Folded Stone Formations
There’s nothing more beautiful than these scarves, shawls, lambrequins of translucent calcite, some white as snow, falling in graceful folds, fringed with a thousand patterns, and so thin that a candle held behind one of them reveals all the structure within. (The Smithsonian Institution)
El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente está ocupado por una sede de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo XV por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza. Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del Premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España. Actualmente forma parte de la sede «Antonio Machado» de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la fachada se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo XX ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente acoge la Sede Antonio Machado de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo xv por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza.2 Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del segundo premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España, por la restauración y puesta en uso del edificio.34 Actualmente acoge, junto con el antiguo seminario menor, la Sede Antonio Machado de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la misma se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo xx ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
Baeza, Jaén, España
El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente está ocupado por una sede de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo XV por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza. Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del Premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España. Actualmente forma parte de la sede «Antonio Machado» de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la fachada se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo XX ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
Peu d'information à nouveau. Il semble qu'il accueillit le siège de Libération Champagne durant le XXe siècle. Malheureusement certaines régions n'ont pas toute le même instinct de conservation de leur historique. Sinon concernant l'art nouveau à Troyes, et bien, il est presque inexistant. En effet, peu de bâtiment ont été construit à cet époque ou les propriétaires n'ont pas fait ce choix novateur de style. Il y en a quelques autres, mais voici un bel exemple en plein centre-ville composé notamment de très belle ligne curvilignes en fer forgé pour la porte et l'oriel supérieur. Même si le bâtiment se base sur de solides références néo-classiques, l'art nouveau de par ses apports et son cachet remporte le match sur cet éclectisme et rend l'ensemble unique.
Infos : Ca a peu changé en un siècle
Maison forte en dentelle de bois, j'y vois des feuilles et des Phoenix. Elle comporte notamment des lambrequins à la mode à l'époque haussmannienne n'ayant perduré nul par ailleurs qu'à la Réunion. Cette demeure était le domicile de guérisseur magnétiseur Gottfried Jost dit le "Schloofer" (dormeur, puisqu'il travaillait en état d'autohypnose). Il fut un célèbre rebouteux de la fin du XIXe siècle avec des patients-clients venant même d'outre-Atlantique et d'Inde par exemple. Il fut attaqué en justice à Strasbourg par des confrères et dû partir de la ville pour s'installer dans cette belle maison de campagne.
Sources : Wikipédia sur Dorlisheim (Multi) && Merimee (FR) && Retour sur cet illustre personnage par le journal local (FR)(Paywall) && Circuit de Dorlisheim (Point A)(FR) && Vue du jardin
C'est à Lanester (à côté de Lorient) et c'est blogué là : bigoudene46.over-blog.com/2017/09/lanester.maison-turquoi...
El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente está ocupado por una sede de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo XV por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza. Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del Premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España. Actualmente forma parte de la sede «Antonio Machado» de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la fachada se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo XX ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
es.wikipedia.org/wiki/Palacio_de_Jabalquinto
Baeza es un municipio de España, la ciudad capital de dicho municipio y cabeza del partido judicial homónimo. Se encuentra en el mismo centro geográfico de la provincia de Jaén (en el noreste de la Comunidad Autónoma de Andalucía) enclavada en la comarca de La Loma de la que se considera su capital occidental.
En la actualidad es conocida por su ingente producción olivarera, su abundante legado monumental, y por ser sede universitaria desde el siglo XVI, albergando hoy día una de las sedes de la Universidad Internacional de Andalucía.
Denominada "Nido Real de Gavilanes" por el romancero, fue un punto clave en la conquista de al-Ándalus por los reyes cristianos; pasando definitivamente al reino de Castilla en 1227. Atalaya sobre el Guadalquivir, la posesión de su alcázar (considerado como inexpugnable) aseguró la retaguardia castellana, la vez que supuso una amenaza constante para los reinos islámicos situados al oeste y al sur del Guadalquivir; una amenaza que se hizo efectiva durante los más de dos siglos de lucha fronteriza que separaron la incorporación de Baeza al reino de Castilla y la caída del reino nazarí de Granada (1492).
Durante el período de gran crecimiento demográfico y económico que supuso la mayor parte del siglo XVI, y aún en parte del XVII, Baeza construyó sus edificios públicos y administrativos con alto sentido de capitalidad y con la más alta dignidad, conformando así, junto con las construcciones eclesiásticas, un tejido urbano caracterizado por una monumentalidad que ha dado a la ciudad un encanto especial a los ojos del visitante.
En 1943 se fundó en Baeza la academia de las escalas de Cabos y Guardias y de Suboficiales de la Guardia Civil.
Se encuentra a unos 48 km al noreste de la capital provincial, y limita por el este con el municipio de Úbeda, con el que comparte la capitalidad de la histórica Comarca de La Loma.
El 3 de julio de 2003, y tras varios años de intentos, la UNESCO declara finalmente a Baeza (junto a Úbeda) Patrimonio de la Humanidad. Este acontecimiento profundiza el relanzamiento de la ciudad al incrementar considerablemente el interés del sector turístico.
es.wikipedia.org/wiki/Baeza_(España)
Encore une belle arche sainte, mais d'un style bien différents des dernières présentées. Elle reprend en parti l'architecture extérieur avec notamment les antéfixes et la torah par exemple. La synagogue suit le rite réformé et à donc la Bima non pas au centre comme la synagogue Pinkas mais est collé à l'arche sainte. On la voit notamment ici avec la petite avancée semblable à un petit balcon.
Difficile également de ne pas apprécier toutes ces arabesques ainsi que cette ouverture bienvenue.
Sources : Wikipédia synagogue espagniole (Multi) && Monuments historiques (CZ) && Wikipédia synagogue de Léopoldstadt (Multi)
El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente está ocupado por una sede de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo XV por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza. Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del Premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España. Actualmente forma parte de la sede «Antonio Machado» de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la fachada se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo XX ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
Hortillonnages d'Amiens
Jusqu’au milieu du XIXème siècle, le paysage était parsemé de petits cabanons, le plus souvent en bois dont la volumétrie modeste et répétitive contribuait à son homogénéité. Ces petites constructions étaient liées à l’activité maraîchère : des hangars à bateaux souvent accompagnés d’une cabane à outils. Par la suite, des citadins ont commencé à acheter des parcelles pour y passer leur temps libre à jardiner, à pêcher, à flâner au soleil...
Alors, les dimensions et l’esthétique des constructions ont évolué. Les cabanons à outils et abris de pêche sont devenus des véritables résidences d’été. L’esthétique de ces petits pavillons exprimait à la fois le statut social du propriétaire et la singularité de sa personnalité tout en suscitant un sentiment de dépaysement. C’est pourquoi les chalets présentaient de nombreux éléments décoratifs tels que des pans de bois issus de l’habitat traditionnel, des lambrequins en bois découpé...
Au cours du XXème siècle, l’abandon des parcelles agricoles a favorisé l’augmentation du nombre de jardins d’agrément et de leurs chalets. La modernité a apporté couleurs bariolées, matériaux divers, hétéroclites et de récupération, et a cassé l’harmonie paysagère au profit de la diversité. Aujourd’hui la construction de chalets est réglementée.
Luray Caverns is the largest and most popular caverns in Eastern America. Tours along well-lighted, paved walkways that lead visitors through cathedral-sized rooms with ceilings 10-stories high, towering stone formations, and natural wonders.
Delicately Folded Stone Formations
There’s nothing more beautiful than these scarves, shawls, lambrequins of translucent calcite, some white as snow, falling in graceful folds, fringed with a thousand patterns, and so thin that a candle held behind one of them reveals all the structure within. (The Smithsonian Institution)
Flashback to our first day in La Réunion (makes for a good continuation to yesterday’s post). Still in the mood for street, but this time some great street art spotted in Saint-Denis de la Réunion. I don’t know about you, but I was rooted by the rusty look of the place, and the last remains of the “lambrequins” (the typical decoration used in “creole” architecture).
* * *
Flashback vers notre premier jour à la Réunion (bien introduit par mon post d’hier). Encore envie de partager du “street” avec vous, mais cette fois un superbe graf trouvé à Saint-Denis de la Réunion. Je ne sais pas vous mais moi je me suis senti obligé de m’arrêter pour regarder et photographier cet endroit, son look excessivement rouillé, et les quelques restes de lambrequins (cet élément décoratif typique de l’architecture créole).
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El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente está ocupado por una sede de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo XV por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza. Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del Premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España. Actualmente forma parte de la sede «Antonio Machado» de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la fachada se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo XX ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente está ocupado por una sede de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo XV por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza. Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del Premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España. Actualmente forma parte de la sede «Antonio Machado» de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la fachada se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo XX ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente está ocupado por una sede de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo XV por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza. Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del Premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España. Actualmente forma parte de la sede «Antonio Machado» de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la fachada se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo XX ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
The Dom Luís I Bridge, or Luís I Bridge, is a double-deck metal arch bridge that spans the River Douro between the cities of Porto and Vila Nova de Gaia in Portugal. At its construction, its 172 metres span was the longest of its type in the world. It has been confused with the nearby Maria Pia Bridge, a railway bridge that was built 9 years earlier, which is similar in aspect to the Luís I bridge.
In 1879, Gustave Eiffel presented a project to construct a new bridge over the Douro, with a high single deck in order to facilitate ship navigation. This project was rejected due to dramatic growth of the urban population, which required a re-thinking of the limits of a single-deck platform.
A competition was initiated in November 1880, in order to construct a double-deck metal bridge, which included projects by Compagnie de Fives-Lille, Cail & C., Schneider & Co., Gustave Eiffel, Lecoq & Co., Société de Braine-le-Comte, Société des Batignolles (which submitted two ideas), Andrew Handyside & Co., Société de Construction de Willebroek (also two projects) and John Dixon. It was in January of the following year that deliberations by the committee supported the project of Société de Willebroek, a design that cost 369 000$000 réis and provided better carrying capacity. On 21 November 1881, the public work was awarded to the Belgian Société de Willebreok, from Brussels, for 402 contos. It was to be administrated by Théophile Seyrig, a disciple of Gustave Eiffel and author of the project. Seyrig had worked on the D. Maria bridge with Eiffel, hence the resemblance of his new bridge to the D. Maria bridge. Construction began on the Ponte Luís I alongside the towers of an earlier railway suspension bridge, the Ponte Pênsil, which was disassembled.
By 26 May 1886, the first weight experiments began, with the transport of a 2,000 kilograms per metre. On 30 October construction of the main arch and upper deck were concluded, resulting in its inauguration the very next day. On 1 November, a toll system began to operate under the administration of the winning company, that was equal to 4 reís per person. The following year the lower deck was inaugurated, completing the project. During its ceremonies, the bridge was blessed by Bishop D. Américo.
By the turn of the century (1908) electric carriages were installed in the city centre, extending to the bridge.
On 1 January 1944, the toll system was extinguished and the bridge began to function as free infrastructure of the municipal authority of Porto. Originally and for more than a century, the bridge carried road traffic on both decks. Along with other vehicles, electric trams crossed the upper deck from 1908 until May 1959, and trolleybuses crossed both decks from May 1959 until 1993. By 1954, public works were initiated on the bridge under the direction of engineer Edgar Cardoso, who extended the decks and removed the electrification of the deck.
In 1982, the bridge was designated a cultural heritage Imóvel de Interesse Público (Property of Public Interest) by national agency IGESPAR, the Portuguese Institute for the Management of Architectural and Archaeological Heritage.
Luís I Bridge, September 2019
On 27 June 2003, the upper deck was closed to motor traffic in order to adapt the structure for the metro system. Infante Dom Henrique Bridge, 500 m upriver, was completed three months earlier to provide an alternative vehicle connection between Porto and Vila Nova de Gaia. The new "D Line" was inaugurated on 18 September 2005, and opened to the metro trams and pedestrian traffic. With more traffic and demographic growth, in March 2006, a project to enlarge the lower deck was elaborated by architect Virgínio Moutinho and engineers António and José António Campos e Matos. However, the municipal council of Porto asked the Direção-Geral do Património Cultural (Directorate-General for Cultural Patrimony) to avoid a decision on the project, as it was being rethought.
The bridge is situated in an isolated, urban area over the River Douro between the granite banks, where the Cathedral of Porto and the escarpment of the Serra do Pilar form a box valley. It is 1 kilometre from the bridge of D. Maria Pia and, farther along, the Arrábida Bridge. On the Porto side, the lower deck connects the Cais da Ribeira and the upper Avenida Vímara Peres, while the bank of Vila Nova de Gaia to the Avenida Diogo Leite and Avenida da República, respectively. Access to the Porto side is located along the Pillars of Ponte Pênsil, while the Guindais Funicular, the Church and Shelter of Ferro, the Fernandina Walls and the Monastery of Serra do Pilar.
The iron bridge has two decks, of differing heights and widths, between which develop a large 172.5 metres diameter, central arch supporting these upper and lower decks. Both decks are moored to the riverbanks by means of masonry piers. Those in the upper deck, are rectangular with a trimmed cornice finish, consisting of two staggered registers separated by cornice and interlacing struts. The lower deck is based on large foundations supporting molded cornices and wedges linked together by a felled arch, and framed by interlacing beams. At the base of the arches, facing the riverbanks, are large marble plaques with inscriptions "PONTE LUIZ I", and on the upstream face are stones representing royal coat-of-arms, with a shield framed by garlands. At the base of the lower deck, are iron-pillared, pyramidal-truncated pillars, erected in three sections, that attach to the upper deck.
The bridge has an asphalt pavement for vehicular traffic, separated by cast iron guards, that limit the pedestrian sidewalks, that develop laterally. The central arch emerges from the bollards at the foundations and decreasing thickness towards the center. The upper deck, also flanked by pedestrian walkways protected by cast iron guards (similar to the lower deck), was also asphalt-paved[2] until converted to carry light rail trains of the Porto Metro in the mid-2000s. From this deck are lamps used for illumination, confronting and connected, forming decorative circles at the angles. Under the guard is cut-out-like lambrequin decorated with phytomorphic elements.
Maison traditionnelle avec ses lambrequins blancs sous la toiture.
2 fougères arborescentes encadrent l'allée.
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Plaine des Palmistes
Ile de la Réunion
Reunion Island, a french island in Indian Ocean
Une énigme du jeu Quel est ce lieu ?
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Près de la rivière, une maison porte ce nom. Je l'ai trouvé charmante avec son lambrequin au bord des chiens assis.
A nouveau dans le même acabit que l'arche sainte et la façade extérieure l'orgue épouse des formes analogues. Par contre, un orgue dans une synagogue devrait vous faire tiquer puisque cette quelque chose de très rare.
Tout comme les jubés ou les anges dans les églises. Il faut ici parler réforme. En effet, je vous ai dit précédemment que cette synagogue espagnole avait un rite réformiste, sans rentré dans les détails, on se détache de la forme la plus orthodoxe du judaïsme pour amener quelques éléments de nouveauté. La communauté juive de Prague avait déjà expérimenté du chant dans le XVIIIe siècle accompagné par un orgue et cela fut naturelle d'en ajouté un à cette synagogue flambant neuve du XIXe siècle alors que la réforme déferlait sur toute l'Europe.
Sources : Wikipédia synagogue espagniole (Multi) && Monuments historiques (CZ) && Wikipédia synagogue de Léopoldstadt (Multi) && Article très détaillé de l'institut européen des musiques juives sur l'orgue dans le judaïsme (FR)
El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente está ocupado por una sede de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo XV por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza. Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del Premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España. Actualmente forma parte de la sede «Antonio Machado» de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la fachada se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo XX ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
es.wikipedia.org/wiki/Palacio_de_Jabalquinto
Baeza es un municipio de España, la ciudad capital de dicho municipio y cabeza del partido judicial homónimo. Se encuentra en el mismo centro geográfico de la provincia de Jaén (en el noreste de la Comunidad Autónoma de Andalucía) enclavada en la comarca de La Loma de la que se considera su capital occidental.
En la actualidad es conocida por su ingente producción olivarera, su abundante legado monumental, y por ser sede universitaria desde el siglo XVI, albergando hoy día una de las sedes de la Universidad Internacional de Andalucía.
Denominada "Nido Real de Gavilanes" por el romancero, fue un punto clave en la conquista de al-Ándalus por los reyes cristianos; pasando definitivamente al reino de Castilla en 1227. Atalaya sobre el Guadalquivir, la posesión de su alcázar (considerado como inexpugnable) aseguró la retaguardia castellana, la vez que supuso una amenaza constante para los reinos islámicos situados al oeste y al sur del Guadalquivir; una amenaza que se hizo efectiva durante los más de dos siglos de lucha fronteriza que separaron la incorporación de Baeza al reino de Castilla y la caída del reino nazarí de Granada (1492).
Durante el período de gran crecimiento demográfico y económico que supuso la mayor parte del siglo XVI, y aún en parte del XVII, Baeza construyó sus edificios públicos y administrativos con alto sentido de capitalidad y con la más alta dignidad, conformando así, junto con las construcciones eclesiásticas, un tejido urbano caracterizado por una monumentalidad que ha dado a la ciudad un encanto especial a los ojos del visitante.
En 1943 se fundó en Baeza la academia de las escalas de Cabos y Guardias y de Suboficiales de la Guardia Civil.
Se encuentra a unos 48 km al noreste de la capital provincial, y limita por el este con el municipio de Úbeda, con el que comparte la capitalidad de la histórica Comarca de La Loma.
El 3 de julio de 2003, y tras varios años de intentos, la UNESCO declara finalmente a Baeza (junto a Úbeda) Patrimonio de la Humanidad. Este acontecimiento profundiza el relanzamiento de la ciudad al incrementar considerablemente el interés del sector turístico.
es.wikipedia.org/wiki/Baeza_(España)
When King Gustav III took over Drottningholm in 1777, he planned several new buildings in the Park. They were to create atmosphere, give unexpected views and also form backdrops for Court theatrical events. However, only two were realised: the Guards' Tent in 1782 and the Gothic Tower in 1792. The Guards' Tent was decorative in the Park, but the f.nade concealed something — barracks for the Royal guards.
Carl Fredrik Adelcrantz was the architect of the Guards' Tent, but the idea came from Gustav III himself. He got the inspiration on a visit to Catherine the Great of Russia in 1777 and a journey to France in 1771. He then visited King Louis XV at the palace in Compiegne and saw tents which the French king had received from the Turkish Sultan.
The Guards' Tent was restored in 1989-1996, and today it has the same appearance as on the 1781 drawing by Adelcrantz. The entire finade is in sheet metal and painted to resemble canvas. The leafy edging, called lambrequin, together with the textile-like tassles along the base of the roof, reinforce the appearance of a tent.
The finade conceals a two-storey wooden building. On the lower level, there were two dormitories for guards, a kitchen and a hall with stairs leading to the upper level, where the officers had their rooms. If you think the building is dark — walk round to the back and you will see six windows.
_______________________________________
När Gustav III övertog Drottningholm 1777 planerade han för flera nya byggnader i parken. De skulle skapa stämning, ge överraskande vyer och även ingå som kulisser i hovets skådespel. Men bara två förverkligades; Vakttältet 1782 och Götiska tornet 1792. Vakttältet prydde sin plats i parken, men bakom fasaden dolde sig något mer — en förläggning för kungligheternas vakter.
Carl Fredrik Adelcrantz var Vakttältets arkitekt, men Gustav III stod själv för iden. Inspirationen till det fick han under besöket hos Katarina den stora i Ryssland 1777 och vid en resa till Frankrike 1771. Han besökte då Ludvig XV på slottet Compiegne och såg tält som franske kungen fått av den turkiske sultanen.
Vakttältet restaurerades 1989-1996 och har i dag samma utseende som på Adelcrantz ritning från 1781. Hela fasaden är av bleckplåt, formad och målad för att likna tältduk. Den flikiga bården, som kallas lambrekäng, och de textilliknande tofsarna längs takfoten stärker känslan av tält. Fasaden döljer en träbyggnad i två våningar. I den nedre fanns två sovrum för vaktmanskapet, ett kök och en hall med trappa till övervåningen, där befälen hade sina rum.
Vakttältet ersatte en äldre vaktbyggnad som stod närmare Kina slott och som användes av livvakten när kungligheterna var där. Vakttältet kan även ha använts av de kompanier som förlades vid Drottningholm sommartid för att arbeta i parken. Under 1800-talet var det även förläggning för infanteriskolan. Om du tror att byggnaden är mörk inuti får du ett annat intryck om du går runt till baksidan — där sitter nämligen sex fönster.
Bretagne Ille-et-Vilaine Saint-Malo
PARAME
To the east of St.Malo lie a series of magnificent beaches centered on the resort of Paramé. Paramé itself has two beaches, each 1½ miles long: Casino Beach which extends that of St.Malo and Rochebonne Beach. The resort has a magnificent 2-mile long promenade. Further east lies Rothéneuf with two more beaches.
Pittoresque et historicisme (Please ,forgive me the translation into English!)
Après les implantations pionnières anglaises, fortement marquées par leur empreinte d'Outre-Manche, et d'une
austérité exempte de toute fantaisie, les premières maisons de style chalet alignées à partir du Second Empire le
long du Sillon à Paramé, avec leurs toitures débordantes bordées de lambrequins repercés, témoignent d’un
premier goût balnéaire pour l’architecture pittoresque, représenté également par les casinos entièrement construits
en bois. Les années 1880 voient apparaître, sur la côte d'Emeraude comme ailleurs, le triomphe de l'éclectisme.
Les plus beaux spécimens du genre s'édifient à Dinard sur les pointes du Moulinet et de la Malouine, à Saint-Malo
After the setting-up English pioneers, strongly marked by their imprint across the Channel, and with one
Austerity exempt from any whim ( fantaisie in French), the first houses of style chalet aligned from the Second Empire
Along the Furrow to Paramé, with their overflowing roofs lined with valances, testify of one
First seaside taste for the picturesque architecture, represented also by the casinos completely built in
Wood. 1880s see appearing, on the Emerald Coast, as somewhere else, the triumph of the eclecticism.
The most beautiful specimens of the kind(genre) are built to Dinard on the Points of the Reel and the Malouine, to Saint-Malo
El palacio de Jabalquinto es un edificio de arquitectura civil situado intramuros en la ciudad española de Baeza, en la provincia de Jaén. Se trata de uno de los símbolos patrimoniales más destacados de la localidad y del Señorío y posterior Marquesado de Jabalquinto. Actualmente está ocupado por una sede de la Universidad Internacional de Andalucía. Forma parte del conjunto monumental renacentista de Baeza, que junto con el de Úbeda, fue declarado Patrimonio de la Humanidad por la Unesco en 2003.
Fue mandado edificar en la segunda mitad del siglo XV por el señor de Jabalquinto Juan Alfonso de Benavides Manrique, el "Famoso Capitán de Lorca" (primo segundo del rey Fernando el Católico) casado con doña Beatriz de Valencia Bracamonte; el primogénito de ambos, Manuel, casó con Luisa Manrique, hija del célebre poeta Jorge Manrique.
En 1637, la heredera de la Casa, Isabel de Benavides, marquesa de Jabalquinto, casó con el conde de Benavente, Antonio Alonso Pimentel de Quiñones, uniéndose ambos títulos. En 1720, a petición del Seminario de San Felipe Neri y para ampliación del mismo, los condes cedieron el palacio, reservándose el derecho, ellos y sus sucesores, de tener habitación cuando viniesen a Baeza, asiento señalado en la capilla y el respeto de los escudos de armas del edificio.
En 1836 se incautó el Estado del inmueble, cediéndolo de nuevo al Seminario en 1853. El palacio continuó siendo utilizado como Seminario Menor de la diócesis de Jaén hasta la extinción del mismo en 1969, y su posterior conversión por la diócesis en Colegio Menor durante la década de 1970. Mientras tanto, en 1931, había sido declarado monumento histórico-artístico. Entre 1987 y 1991 fue sede de la Escuela Taller de Rehabilitación del Patrimonio Histórico-Artístico de Baeza. Con la fundación de la UNIA, en 1994, el palacio es cedido por la diócesis a la nueva institución universitaria; la rehabilitación final del mismo supuso para la UNIA la obtención, en 2005, del Premio Ciudades Patrimonio de la Humanidad otorgado por el Ministerio de Cultura de España. Actualmente forma parte de la sede «Antonio Machado» de la Universidad Internacional de Andalucía.
El proyecto de la fachada se ha atribuido a Juan Guas, pero Molina Hipólito se inclinó por Enrique Egas como proyectista y Pedro López, maestro mayor de Jaén, como ejecutor de la obra. De estilo Reyes Católicos se adorna con profusión de puntas de diamante, clavos de piña, frondas, florones, lazos, pináculos, heráldica y mocárabes. En origen, su imagen era mucho más gótica, y su logia superior similar y hermanada a la del Palacio del Infantado de Guadalajara.
En el primer cuerpo, la puerta ―centrada y enmarcada por pináculos góticos a modo de arrabá― forma un arco conopial recorrido por dos troncos por los que trepan graciosamente catorce figurillas humanas. El segundo cuerpo tiene cuatro ventanas ―gemelas las centrales― también entre pináculos y ajimezadas con delicadas columnillas. Sobre ellas, ocho escudos terciados "a la valona" (inclinados) con yelmos, cimeras y lambrequines: cuatro del señor de Jabalquinto (Benavides, Manrique, Mendoza y Rojas) y cuatro de su esposa (Valencia, Bracamonte, Acuña y Mendoza). Toda esta fantasía se halla enmarcada entre dos contrafuertes cilíndricos que se abren en mocárabes coronados por antepechos reconstruidos en la segunda mitad del siglo XX ―a imitación de los propios de las ventanas― por la Dirección General de Bellas Artes.
Un mirador columnado renacentista fue añadido algo más tarde sobre la fábrica gótica, que sería similar a la logia del Palacio del Infantado, que el mismo Juan Guas ideó; los actuales antepechos del mismo ―imitando los de las galerías del patio― proceden de la última restauración del edificio, y sustituyen a los góticos flamígeros anteriores.
Las habitaciones que dan a la fachada, y que forman con ella la parte más antigua del edificio, conservan sus artesonados, algunos policromados.
es.wikipedia.org/wiki/Palacio_de_Jabalquinto
Baeza es un municipio de España, la ciudad capital de dicho municipio y cabeza del partido judicial homónimo. Se encuentra en el mismo centro geográfico de la provincia de Jaén (en el noreste de la Comunidad Autónoma de Andalucía) enclavada en la comarca de La Loma de la que se considera su capital occidental.
En la actualidad es conocida por su ingente producción olivarera, su abundante legado monumental, y por ser sede universitaria desde el siglo XVI, albergando hoy día una de las sedes de la Universidad Internacional de Andalucía.
Denominada "Nido Real de Gavilanes" por el romancero, fue un punto clave en la conquista de al-Ándalus por los reyes cristianos; pasando definitivamente al reino de Castilla en 1227. Atalaya sobre el Guadalquivir, la posesión de su alcázar (considerado como inexpugnable) aseguró la retaguardia castellana, la vez que supuso una amenaza constante para los reinos islámicos situados al oeste y al sur del Guadalquivir; una amenaza que se hizo efectiva durante los más de dos siglos de lucha fronteriza que separaron la incorporación de Baeza al reino de Castilla y la caída del reino nazarí de Granada (1492).
Durante el período de gran crecimiento demográfico y económico que supuso la mayor parte del siglo XVI, y aún en parte del XVII, Baeza construyó sus edificios públicos y administrativos con alto sentido de capitalidad y con la más alta dignidad, conformando así, junto con las construcciones eclesiásticas, un tejido urbano caracterizado por una monumentalidad que ha dado a la ciudad un encanto especial a los ojos del visitante.
En 1943 se fundó en Baeza la academia de las escalas de Cabos y Guardias y de Suboficiales de la Guardia Civil.
Se encuentra a unos 48 km al noreste de la capital provincial, y limita por el este con el municipio de Úbeda, con el que comparte la capitalidad de la histórica Comarca de La Loma.
El 3 de julio de 2003, y tras varios años de intentos, la UNESCO declara finalmente a Baeza (junto a Úbeda) Patrimonio de la Humanidad. Este acontecimiento profundiza el relanzamiento de la ciudad al incrementar considerablemente el interés del sector turístico.
es.wikipedia.org/wiki/Baeza_(España)
www.lonelyplanet.com/spain/andalucia/baeza
Baeza se asienta sobre un terreno que ha estado continuamente habitado, al menos desde la Edad del Bronce. Por esta razón, y a pesar de las sucesivas destrucciones sufridas por las construcciones de todos los períodos, la ciudad aún retiene un destacado patrimonio monumental en el que están representadas diversas culturas, períodos y estilos artísticos. En Baeza pueden contemplarse restos de la Edad del Bronce, de la Época Romana, y de la Hispania visigoda, islámica y cristiana. No obstante, el más rico patrimonio monumental conservado corresponde a los diversos estilos artísticos presentes en la Baeza cristiana: desde el tardo-románico y el gótico, al renacentista, manierista, barroco y neoclásico. No en vano en 2003 el casco histórico de la población, con su antigua ciudad intramuros, fue declarado Patrimonio Mundial por la Unesco.
Baeza, situada en la cornisa sur de la gran meseta que es La Loma, se asoma al valle del Guadalquivir desde un acantilado que domina un paisaje de cerros infinitos; dicho acantilado, visto desde el llano parece sustentar la catedral como un faro.
La ciudad originaria estaba edificada sobre este cerro y en torno a una ciudadela, hoy desconocida: el celebérrimo alcázar de Baeza, reputado como inexpugnable y dentro del cual se encontraban el castillo-palacio de la autoridad real y la iglesia (luego colegiata) de Santa María del Alcázar. Estas construcciones, lejos de surgir ex novo, fueron una continuación de similares edificaciones de los períodos oretano, cartaginés y romano; restos de los cuales aún pueden contemplarse en el cerro junto a otros de la precedente Edad del Bronce.
Desde esta atalaya entendemos que la ciudad fuera una gran plaza fuerte donde, un día, se remansó la gran epopeya reconquistadora revitalizada por Las Navas de Tolosa. No obstante, a fines del s. XV el alcázar fue derribado por mandato de la reina Isabel la Católica de modo que no siguiera siendo utilizado como defensa con ocasión de las pugnas nobiliarias que enfrentaban por entonces (como en toda Castilla) a los linajes dominantes de la ciudad (Carvajales y Benavides).
Consecuencia del derribo del alcázar, el cerro fue perdiendo pobladores hasta el punto de estar casi despoblado en el s. XVIII y trasladarse por ello la colegiata a la parroquia de San Andrés. También desaparecido el frente sur de la muralla, adyacente al alcázar, el paseo que lo reemplaza es hoy día un mirador excepcional sobre el valle alto del Guadalquivir, y el cerro mismo, un parque arqueológico de primer nivel pendiente de excavaciones más ambiciosas.
Su centro neurálgico es la Plaza de Santa María establecida en la baja edad media, y hasta el s. XIX, como sede de los poderes que rigen la ciudad: el civil y el religioso; en ella se encuentran hoy:
La Catedral de la Natividad de Nuestra Señora: edificada sobre la antigua mezquita que (según tradición histórica) había sido construida a su vez sobre un templo visigodo anterior, fue la primera consagrada en Andalucía con ocasión de la reconquista castellana.
Las Cancillerías góticas o Casas Consistoriales Altas: sede del concejo de la ciudad entre fines del s. XV y el s. XIX, cuando el consistorio municipal traslada su sede al antiguo palacio del corregidor.
La Fuente de Santa María: situada en el centro de la plaza fue edificada en el año 1564 para marcar la finalización de las obras de traída de aguas a la ciudad.
El Seminario de San Felipe Neri (1660): tiene fachada de buena sillería, puerta de medio punto, frontón partido y vítores estudiantiles.
Al norte de este conjunto, y junto a la Puerta del Barbudo, se halla la sede de la antigua universidad Santísima Trinidad, otra importante Institución eclesiástica de la Edad Moderna hoy Instituto. El edificio es de estilo manierista (fines del s. XVI) y consta de claustro, en torno al cual se organizan las dependencias universitarias, y una amplia capilla; contando cada uno de estos elemento con portada propia. Destaca, sobre la puerta de acceso al claustro, el medallón labrado con el tema de la Santísima Trinidad. En esa misma fachada pueden verse los escudos del canónigo Fernández de Córdoba (donante del edificio) timbrados con un impropio galero arzobispal.
De las primeras parroquias intramuros han desaparecido por completo la colegiata de Santa María, San Miguel y San Gil; solo permanecen:
Las Ruinas de la parroquia de San Pedro: iglesia románica de la que sólo se conservan el ábside (parcialmente visible al exterior) y restos considerables de la portada norte (dentro de propiedad particular). Parcelada en viviendas desde el s. XIX, su fábrica ha ido deteriorándose y se han abierto nuevos vanos en el ábside.
Las Ruinas de la parroquia de San Juan: iglesia tardorrománica de la que sólo se conservan los tres ábsides de la cabecera, el muro del lado del evangelio y los capiteles y basas de sus seis columnas. Recientemente, estos restos han sido consolidados y su acceso abierto al público.
La Iglesia de Santa Cruz
Esta última se halla en la plaza del mismo nombre frente al Palacio de Jabalquinto, el más destacado de la ciudad intramuros y uno de los emblemas de Baeza. Pero la ciudad intramuros está, además, plagada de rincones con otros palacios y casonas de interés, como la Casa de Avilés (mediados del s. XVI), la Casa de los Galeote (segunda mitad del s. XVI), la Casa de los Ávila (comienzos del s. XVII), la Casa de los Fuentecilla, la Casa de los Canónigos, el Palacio de los Obispos (todos del s. XVIII) o el Palacio Rubín de Ceballos (principios del s. XIX).
El trazado de la muralla históricamente conocida, y de la que aún subsisten importantes elementos, obedece a un diseño islámico del s. XI. No obstante, las edificaciones conservadas responden más bien a reconstrucciones cristianas posteriores.
La Plaza del Pópulo (o de Los Leones) está inmediatamente al norte de la ciudad amurallada y al oeste de El Paseo, organizándose en torno a la Puerta de Jaén, única construcción de la plaza perteneciente a la muralla; las otras edificaciones de la misma han ido añadiéndose en distintas épocas:
El Arco de Villalar: directamente a continuación de la Puerta de Jaén, fue erigido con ocasión de la visita del rey Carlos I (1526) y conmemora la victoria real en la batalla de Villalar.
La Casa del Pópulo: edificio plateresco que albergaba la audiencia civil y las escribanías públicas; hoy, oficina de turismo.
La Fuente de los Leones: manantial natural que la interpretación histórica tradicional postula monumento arqueológico procedente de la antigua ciudad iberorromana de Cástulo, hipótesis que se sustenta en la continuidad histórica deliberadamente mantenida con ocasión del traslado a Baeza de la capitalidad administrativa y episcopal de la desaparecida Cástulo. Según esta interpretación, parejas de felinos y équidos (actuando como surtidores) rodean una figura femenina identificada como Himilce. Más recientemente, se ha propuesto identificar esta fuente como previamente proveniente de un patio del alcázar.
La Antigua Carnicería (s. XVI): trasladada a su emplazamiento actual en los sesenta del s. XX, estaba originalmente apoyada contra la muralla en la antaño populosa plaza intramuros sita al otro lado de la Puerta de Jaén; hoy cumple las funciones de palacio de justicia del Partido judicial de Baeza.
Al este del conjunto anterior, más allá de El Paseo (plaza cuyo lado sur se antepone a la Puerta del Barbudo) encontramos:
La Torre de los Aliatares (o de los Altares): denominada así de acuerdo con la tradición que la hace, en tiempos anteriores a la reconquista, posesión del linaje musulmán de ese mismo nombre. Tiene veinticinco metros de altura, con almenas copiadas del Arco de Villalar y ostenta el reloj público de la ciudad.
Hacia el sureste de la anterior hallamos:
La Puerta de Úbeda: de las principales de la muralla; protegida por su torre albarrana hoy sólo conserva uno de sus arcos, habiendo sido desmantelados los otros dos en el s. XIX.
La actual Plaza de España, situada en el extremo noreste de lo que fue la ciudad amurallada; se conoce como tal la gran plaza edificada sobre la rambla por la que vienen a desaguar las tres colinas sobre las cuales se asienta la urbe. Su fisonomía es porticada, muy castellana. Servía de escenario para los eventos taurinos, fiestas y ajusticiamientos públicos. A partir del s. XIX fue cuando se convirtió en un paseo romántico.
En su lado sur encontramos la mencionada torre de Los Aliatares y La Alhondiga, e inmediatamente tras ella El Pósito. En su cara norte se hallan las Casas Consistoriales Bajas o Balcón del Concejo (s. XVII), lugar desde donde los munícipes presenciaban las corridas de toros celebradas en la plaza. Finalmente, y de este a oeste, también encontramos en las inmediaciones de su lado septentrional:
La Iglesia de la Purísima Concepción: capilla del antiguo hospital homónimo edificada a principios del s. XVII (el hospital desapareció en el s. XX).
Convento de San Francisco y Ruinas de la Capilla de los Benavides: sustituyendo un templo gótico construido en el que era tercer solar ocupado en Baeza por la comunidad franciscana, Diego de Valencia Benavides encargó en 1538 a Andrés de Vandelvira la construcción de la cabecera de un nuevo templo conventual, que habría de albergar su capilla funeraria y que acabó siendo la obra maestra de aquel artista y un hito de la arquitectura renacentista española. Lamentablemente el terremoto de Lisboa quebrantó la bóveda cruzada y la invasión napoleónica acabó de arruinar el templo.
Ayuntamiento de Baeza: magnífico edificio plateresco construido originalmente como Palacio de Justicia y Cárcel del Corregidor.