Graphismes
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Comme je le disais sous mon image précédente, un rien m'amuse!
Un apn, quelques brins de lavande, du soleil et un peu d'eau....
Merci pour vos commentaires sympathiques, et votre fidélité.
A très bientôt dans vos univers!
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See you soon!!
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Paris France
Merci beaucoup à tous pour vos gentils commentaires et favoris!!
Thanks a lot for your faves and comments
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A Courteille, le béton règne en maître quasi-absolu.
... Comme beaucoup de quartiers et de villes entières vous me direz.
Mais parfois cet écrasement urbain se voit dans de toutes petites saynètes perdues dans un océan brossé...
Une fenêtre linéaire...
Parce que nos vies et nos déambulations le sont en tout premier lieu.
Seuls les fêlés (qui laissent passer la lumière dit-on, façon de dire qu'ils sont troués façon emmental) ont des trajectoires sinueuses... Et dieu sait combien les photographes sont sinueux... :-))
Kompong-Chhnang (Cambodge) - Lorsque je entré sous le marché couvert, je me suis immédiatement dirigé vers les endroits où la lumière parvenait à éclairer suffisamment les étals, afin de ne pas avoir à trop monter en iso. Au loin, j’ai aperçu un éventaire qui semblait avoir une dimension graphique. Arrivé à proximité, j’ai réalisé qu’il s’agissait d’un commerce de volailles et que les éléments qui m’avaient semblé apporter une dimension graphique, n’étaient que des cadavres de poulets et de canards soigneusement alignés, dont les têtes déplumées pendaient dans le vide. Pour parfaire cette lugubre scène, la vendeuse arborait un maquillage sensé éclaircir se peau, mais qui lui donnait un air blafard, pour ne pas dire macabre.
Kompong-Chhnang (Cambodia) - When I entered under the covered market, I immediately went to the places where the light managed to illuminate the stalls enough so as not to have to turn up too much iso. In the distance, I saw a stand that seemed to have a graphic dimension. Arrived nearby, I realized that it was a poultry trade and that the elements which had seemed to me to bring a graphic dimension, were only the corpses of chickens and ducks neatly lined up. To complete this dismal scene, the saleswoman wore makeup that was supposed to lighten her skin, but which gave her a pale, not to say macabre look.
Image publiée précédemment sans « crop », recadrée pour souligner le graphisme alaire de ce pigeon ramier...au travail.