Frédéric Glorieux
Paris, rue de Montreuil
(after life; 10x15 cm paper; ink)
Pour la première fois depuis longtemps, j’ai dessiné avant de poser des ombres, mais je n’ai pas colorié. Ma main a bougé comme le pendule d’un sourcier, dans un mouvement aléatoire où peut s’introduire de la vérité involontaire. Le trait n’a pas donné d’ordres, il a suggéré, donné le droit d’aller voir ailleurs, comme dans une ville où tous circulent, sans se heurter et librement. Voilà un dessin vraiment urbain qui ne fait pas la leçon à la lumière.
Paris, rue de Montreuil
(after life; 10x15 cm paper; ink)
Pour la première fois depuis longtemps, j’ai dessiné avant de poser des ombres, mais je n’ai pas colorié. Ma main a bougé comme le pendule d’un sourcier, dans un mouvement aléatoire où peut s’introduire de la vérité involontaire. Le trait n’a pas donné d’ordres, il a suggéré, donné le droit d’aller voir ailleurs, comme dans une ville où tous circulent, sans se heurter et librement. Voilà un dessin vraiment urbain qui ne fait pas la leçon à la lumière.