rafeejewell
nikopol's club friday night rave
Nikopol's Club
Fiche technique France - 2002 - 1h42
Animation - Science Fiction
Réalisateur : Enki Bilal
Scénario : Enki Bilal Serge Lehman
d’après la Trilogie Nikopol d’Enki Bilal
Image : Pascal Gennesseaux
Musique : de Goran Vejvoda
Sigur Rós Vénus
New York 2095.
Une pyramide flottante au-dessus de
Manhattan... Une population de mutants,
d'extra-terrestres, d'humains, réels ou syn-
thétiques... Une campagne électorale. Un
serial killer boulimique qui cherche un corps sain et un dieu à tête de faucon qui n'a que sept jours pour préserver son immortalité.
Un pénitencier géostationnaire qui perd un
dissident subversif congelé depuis trente ans
et une jeune femme sans origine connue, aux cheveux et aux larmes bleus...
Trois noms : Horus, Nikopol, Jill…
Trois êtres aux destins convergents où tout est truqué: les voix, les corps, les souvenirs. Tout, sauf l'amour qui surgit comme une délivrance.
Les personnages principaux sont au nombre de trois. Le premier est surnaturel. C'est le dieu Horus, athlète à tête de faucon, condamné à mort par ses pairs pour rébellion, qui n'a que sept jours pour exécuter son plan démoniaque :
investir un corps humain et séduire une femme qui lui garantira l'immortalité. Sa proie sera Alcide Nikopol (Thomas Kretschmann), le défenseur des opprimés, déporté pour avoir tenté de combattre le pouvoir officiel, qu'un court-circuit dans le pénitencier où il était
congelé depuis trente ans ressuscite.
Nikopol (guerrier doté d'une jambe artificielle
de métal) et Horus (mi-homme mi-oiseau) deviennent rivaux : ils tombent amoureux de la même femme, Jill (Linda Hardy), pur fantasme, énigmatique pin-up en phase de mue, qui avale
des pilules pour empêcher son passé de resurgir, et pleure des larmes bleues, indélébiles sur la peau humaine.
Nikopol séduit Jill en lui récitant un poème de Baudelaire "Une Charogne" . La cérémonie des lèvres est rythmée par une dégustation de bordeaux. Déployant ses ailes au-dessus d'un New York évoquant le Metropolis de Fritz Lang,
l'homme-dieu au pouvoir de Superman a des désirs physiques, et les pulsions de viol d'Amphitryon : sous l'apparence de Nikopol, dans une chambre d'hôtel à faire gémir les fleurs du mal, il pénètre le corps alangui de Jill, jouit de ses étreintes et de son abandon tel un alien.
nikopol's club friday night rave
Nikopol's Club
Fiche technique France - 2002 - 1h42
Animation - Science Fiction
Réalisateur : Enki Bilal
Scénario : Enki Bilal Serge Lehman
d’après la Trilogie Nikopol d’Enki Bilal
Image : Pascal Gennesseaux
Musique : de Goran Vejvoda
Sigur Rós Vénus
New York 2095.
Une pyramide flottante au-dessus de
Manhattan... Une population de mutants,
d'extra-terrestres, d'humains, réels ou syn-
thétiques... Une campagne électorale. Un
serial killer boulimique qui cherche un corps sain et un dieu à tête de faucon qui n'a que sept jours pour préserver son immortalité.
Un pénitencier géostationnaire qui perd un
dissident subversif congelé depuis trente ans
et une jeune femme sans origine connue, aux cheveux et aux larmes bleus...
Trois noms : Horus, Nikopol, Jill…
Trois êtres aux destins convergents où tout est truqué: les voix, les corps, les souvenirs. Tout, sauf l'amour qui surgit comme une délivrance.
Les personnages principaux sont au nombre de trois. Le premier est surnaturel. C'est le dieu Horus, athlète à tête de faucon, condamné à mort par ses pairs pour rébellion, qui n'a que sept jours pour exécuter son plan démoniaque :
investir un corps humain et séduire une femme qui lui garantira l'immortalité. Sa proie sera Alcide Nikopol (Thomas Kretschmann), le défenseur des opprimés, déporté pour avoir tenté de combattre le pouvoir officiel, qu'un court-circuit dans le pénitencier où il était
congelé depuis trente ans ressuscite.
Nikopol (guerrier doté d'une jambe artificielle
de métal) et Horus (mi-homme mi-oiseau) deviennent rivaux : ils tombent amoureux de la même femme, Jill (Linda Hardy), pur fantasme, énigmatique pin-up en phase de mue, qui avale
des pilules pour empêcher son passé de resurgir, et pleure des larmes bleues, indélébiles sur la peau humaine.
Nikopol séduit Jill en lui récitant un poème de Baudelaire "Une Charogne" . La cérémonie des lèvres est rythmée par une dégustation de bordeaux. Déployant ses ailes au-dessus d'un New York évoquant le Metropolis de Fritz Lang,
l'homme-dieu au pouvoir de Superman a des désirs physiques, et les pulsions de viol d'Amphitryon : sous l'apparence de Nikopol, dans une chambre d'hôtel à faire gémir les fleurs du mal, il pénètre le corps alangui de Jill, jouit de ses étreintes et de son abandon tel un alien.